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 1.22 - SADNESS

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Yukinari_
Yukinari_



█ . AGE : 36
█ . EMPLOI/LOISIRS : Oreille Attentive
█ . VOISINS : Scavo
█ . HUMEUR DU MOMENT : Nostalgique
█ . RAGOTS : 615
█ . DATE D'ARRIVEE : 25/07/2007

1.22 - SADNESS Vide
MessageSujet: 1.22 - SADNESS   1.22 - SADNESS Icon_minipostedDim 12 Aoû - 15:06

1.22 - SADNESS 122qu2



awaï et Popin se trouvaient à la réception de l'hôtel à régler la facture. Ils avaient rassemblé tous leurs bagages dans le coffre de la voiture de location. Leur avion décollait dans deux heures et demie, plus rien ne les retenait dans ce pays. Ils repartaient en France, là où ils avaient été heureux, là où ils avaient vécu les meilleurs moments de leur vie commune là aussi où ils avaient connu leur première dispute importante. Mais c'était de l'histoire ancienne. Ils repartaient sur de nouvelles bases solides, Kawaï ayant réglé ses comptes avec sa famille. Sa mère, son père et son frère savaient qu'il aimait Popin et qu'il avait décidé de vivre avec lui en France à cause de Chris qui n'acceptait pas les préférences de son fils. La fuite plutôt que de subir le regard désapprobateur du père. Kawaï avait un petit pincement au cœur, il adorait sa mère, son petit frère allait lui manquer et.... son père aussi, il avait toujours été très complice avec son père jusqu'au jour tout récent où celui-ci avait compris que son fils était amoureux d'un homme. Pourquoi restait-il ancré dans des idées rétrogrades, refusant d'accepter que deux hommes pouvaient s'aimer avec autant de passion et de force qu'un homme et une femme ?...
Plongé dans ses pensées, Kawaï semblait absent pendant que Popin saisissait le code de sa carte bleue sur le terminal de paiement électronique de l'hôtel.
- Alors mon Kawaïou, prêt pour une nouvelle vie ? lui demanda Popin en lui tapotant gentiment l'épaule.
Kawaï sortit de ses pensées, et adressa un sourire un peu forcé à son ami.
- Tiens, reprit Popin, prends les clefs de la voiture, j'ai envie de me détendre, de profiter une dernière fois du paysage et toi tu as besoin de t'occuper l'esprit, pas vrai ?
- Tu lis dans mes pensées ???
- Je te connais mon amour.... Je vois tout de suite quand quelque chose te préoccupe parce que je t'aime, si tu savais combien je t'aime. Crois-moi nous avons fait le bon choix ta famille te rend malheureux. Ton père risque de mettre en péril notre amour.
- Ne t'inquiète pas mon Popinou, je te suivrai au bout du monde. En route....
Kawaï démarra en trombe et fila vers l'aéroport situé à une heure et demi de là, sans se douter qu'un drame affreux était en train d'ébranler sa famille.....

Marko avait transporté Sandro dans une pièce au grenier. Ika avait soigné succinctement sa plaie d'où suintait un peu de sang. Le jeune homme reprenait peu à peu conscience, et, avec le réveil, la douleur se fit ressentir plus fortement dans son épaule. Les polonais avaient enfermé Susan avec lui, l'avaient attachée par des menottes au radiateur. Elle les avait suppliés d'appeler les secours mais Ika et Marko s'étaient montrés fermement opposés à cette idée. Leur situation d'étrangers n'étaient pas encore tout à fait régularisée, ils ne souhaitaient pas se faire remarquer par les autorités risquant de se faire reconduire aux frontières. Ils avaient aussi subtilisé les clefs de chez Sandro, récupéré la cage de Quenotte, enfermé le hamster à l'intérieur et reconduit l'animal chez son propriétaire sans se soucier s'il avait de quoi manger....
Sandro poussa un grognement douloureux qui affola Susan.
- Vous êtes réveillé ? demanda-t-elle d'une voix inquiète.
- Ho ! soupira-t-il.
- Je suis profondément désolée. Tout ça est de ma faute. Vous souffrez ?
- Vous m'avez planté une hache dans l'épaule, que croyez-vous ? Que je vais danser la salsa avec vous pour fêter ça ?
- Pardonnez-moi Sandro. Je ne voulais pas....
- Je sais : vous ne vouliez pas me blesser, ce coup de hache était destiné à tuer mon gentil hamster. Vous êtes un vrai bourreau Susan. Je ne vous imaginais pas comme ça...
- Ce sont les polonais qui m'ont obligée... Je vous le jure. Jamais je n'aurai fait le moindre mal à Quenotte sans contrainte.
- Bon sang, j'ai mal....
- Je vais les obliger à vous emmener à l'hôpital...
- Où est Quenotte ? Comment va-t-il ?
- Ne vous inquiétez pas : il est sain sauf...
- J'ai de quoi m'inquiéter quand il est entre les mains de ces bouchers sanguinaires ! Si Serge ne l'avait pas laissé échappé ce soir là.... Rien de tout ceci ne serait arrivé...
Tout à coup, il entendit comme le bruit sourd d'une scie. Il leva les yeux vers Susan et découvrit malgré sa vue brouillée, dans un espèce de brouillard, Susan en train de couper le tuyau du radiateur à l'aide d'une minuscule paire de ciseaux à ongle.
- Que faites vous ? Vous n'allez jamais y arriver avec cet outil ridicule.
- Vous avez sans doute raison, mais il faut que je me libère en douceur. Je veux me rattraper et vous sortir de cette situation dans laquelle je vous ai mise.
Elle remisa sa paire de ciseaux dans son sac à main et employa les grands moyens. Elle se leva, posa les pieds contre le mur et tira violemment sur la chaîne des menottes coincée par le tuyau. Sandro observa la scène, persuadé que Susan allait une fois de plus engendrer une catastrophe. Au bout de cinq minutes le tuyau lâcha, Susan fut propulsée dans le tas de charbon de bois remisé dans la pièce en attendant l'hiver, un grand jet d'eau froide jaillit du tuyau arrosant la pièce et ses prisonniers....
Accompagné de deux policiers en uniforme, le commissaire Grized était venu annoncer la triste nouvelle à Irisblue. Il était de son devoir de porter ce genre d'information lui-même auprès des familles avec le plus de diplomatie possible. C'était la tâche la plus pénible qu'il avait à réaliser dans son métier mais il ne pouvait pas s'y soustraire. Informer une femme de la mort accidentelle de son mari ou de son enfant avait de quoi rebuter même l'homme le plus insensible du monde.... Irisblue s'effondra quand elle apprit la nouvelle. Heureusement, Grized avait prévu le coup, il avait convié le docteur de wisteria lane à se tenir à ses côtés en cas de malaise. Grized connaissait bien Danmind, pour avoir passé les premières années de sa vie dans le quartier. Ils avaient fréquenté, les mêmes écoles, le même lycée... Ils avaient aimé la même fille Saraluna qui avait préféré Grized au futur médecin.... Danmind avait confié son cabinet médical à Lamita sa nouvelle assistante le temps de seconder le commissaire auprès d'Irisblue. Quand Grized eut achevé de prononcer les mots terribles, le femme resta de marbre plusieurs secondes, le visage blême. Puis elle serra très fort la main de son fils, les larmes lui montèrent aux yeux, elle s'écroula sur le canapé du salon.
- Ce n'est pas possible, murmura-t-elle en les dents. Vous devez vous tromper.
- Je suis désolé madame, nous avons retrouvé les papiers de votre mari et son téléphone portable...
Yuki se mordillait la lèvre inférieure, la main toujours serrée par sa mère. Il ne savait pas trop comment s'y prendre pour la consoler. Il ne réalisait pas encore la portée de cette nouvelle, il ne savait pas s'il était triste, soulagé. Une boule semblait lui oppresser la poitrine. Même s'il ne s'entendait pas avec son père, il ne souhaitait pas sa mort... Non c'était sûr, il ne voulait pas le voir partir comme ça.... Il serra les mâchoires pour ne pas pleurer. Irisblue tomba dans une crise d'hystérie qui inquiéta Yuki. Elle hurlait le nom de son mari en pleurant toutes les larmes de son corps....
- Mon Chris, non c'est pas vrai, je vous en supplie, rendez-le moi.... criait-elle au bord de la crise de nerf. Mon petit Yuki, reste avec moi, où est ton frère ? Kawaï, je veux qu'il soit auprès de nous...
- Ne te fais pas de souci maman, je vais le ramener à la maison, la rassura Yuki, tandis que le Danmind administrait un calmant à Irisblue.
Yuki monta dans sa chambre, chercher son portable, composa le numéro de Kawaï en espérant que l'avion n'ait pas encore décollé....

Grized et Danmind quittèrent la maison d'Irisblue en marchant côte à côte dans l'allée. La femme s'était assoupie sous l'effet du calmant.
- C'est vraiment triste pour cette pauvre femme et ses deux fils, dit Grized.
- Oui, confirma Danmind. Je repasserai la voir dans la soirée.
- Merci Dan.
- Tu n'as pas à me remercier, je fais juste mon boulot...
- Alors tu es toujours avec la mère de Saraluna ?
- Oui.... Tu le sais et tu n'as rien dit ?
- Secret professionnel...
- Tu n'approuves pas...
- Difficile d'approuver ce genre de relation. Tu peux imaginer ce que ressent Saraluna...
- Oui... Surtout je ne comprends pas pourquoi tu n'en as pas profité pour la courtiser. Tu n'attendais que ça, non ?
- Tu sais, après la mort de son père et la disparition de sa mère, Sara ne songeait plus vraiment aux garçons. Elle s'est occupée toute seule de l'éducation de ses soeurs et de son frère. Le reste ne comptait plus...
Il s'interrompit car son portable sonnait.
- Excuse-moi. Allô ? Oui... Où ça ? Quel type de blessure ? Ne bougez pas j'arrive....
Il coupa la communication et reprit à l'attention de Grized :
- Je dois te laisser, une urgence.
- J'ai été content de te revoir.... Et de parler un peu du passé avec toi....
- Tu sais, Grized, Sara ne te pardonnera jamais et ses soeurs non plus. Et si son frère apprend ce que tu lui as fait, il la vengera.... Tu ferais mieux de ne pas trop fréquenter le quartier. Oublie-la. Bonne soirée.
Grized regarda le docteur s'éloigner, il tourna les yeux vers la maison de Saraluna en songeant amèrement à tout ce gâchis. Aujourd'hui, il ne comprenait pas comment il avait pu se laisser entraîner dans cette sombre histoire par Narcheska.... Il n'avait pas envie de rentrer, pourtant il démarra la voiture et roula vers la maison. Tout le long du chemin il pensa à la manière dont il allait faire souffrir Narcheska. Elle était dans le salon à l'attendre, un verre de whisky à la main. Grized entra, déposa un baiser sur son front, se servit un Scotch et s'assit en face d'elle. Il déclara d'un ton neutre :
- J'ai vu Saraluna aujourd'hui...
Narcheska avala une gorgée et demanda :
- Où l'as-tu vue ?
- Au commissariat.
- Elle est venue te voir au commissariat ?
- Non, elle est venue chercher sa sœur et son frère que mes hommes avaient arrêtés....
- Oh mon Dieu.... Pourquoi les ont-ils arrêtés ?
- Tu t'intéresses à eux à présent ?
- Chéri, je t'en prie.... Que Saraluna me jette ses reproches à la figure, je comprends, mais pas toi.... Tu as vu Sayla et Tiziano ?
- Oui.
- Mes petits, dit-elle d'un air pensif, le regard humide..... Comment ils sont ? Raconte moi.... Sayla est elle aussi belle que Saraluna ?
- Si tu veux le savoir, va sonner chez eux. Ils ne demandent que ça je suis sûr.
- Je ne veux pas remuer toute cette merde. J'ai très envie de les voir, de les serrer dans mes bras, sentir leur odeur, caresser leurs cheveux, les regarder vivre, rire, manger, dormir, leur dire combien je les aime, combien ils me manquent, combien je regrette.... Mais si j'y vais, je leur ferais plus de mal que de bien.... Il est trop tard aujourd'hui....
- Il n'est jamais trop tard. Aujourd'hui j'ai annoncé à une femme, mère de deux garçons, que son mari était mort dans un accident de voiture : peut-être que cette femme n'a pas eu le temps de dire à son époux combien elle l'aimait, peut-être n'a-t-elle pas eu le temps de vivre avec lui tout ce qu'elle aurait aimé vivre, tout ce qu'elle aurait aimé partager avec lui... Aujourd'hui pour cette femme, il est trop tard.... Je ne veux pas que toi aussi tu te dises un jour qu'il sera trop tard pour te rapprocher d'un de tes enfants.... Ils sont superbes, tu dois aller vers eux avant de le regretter...
- Tu es tellement gentil, dit-elle en le prenant dans ses bras.
- Je t'aime tout simplement, je ne veux pas que tu sois triste.
- Ho Grizou, moi aussi je t'aime...Mes enfants me manquent...
- Oui je sais.... C'est pour ça que tu vas aller les voir...

...
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1.22 - SADNESS Vide
MessageSujet: ... suite   1.22 - SADNESS Icon_minipostedDim 12 Aoû - 15:07

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Imanita était folle de rage. Lenou essayait bien de la retenir mais impossible de la clamer. La jeune fille voulait régler ses comptes avec LPC définitivement. Cette garce lui avait tendu un piège machiavélique, et pauvre d'elle, elle était naïvement tomber dans ce piège qui se resserrait sur elle. Elle avait été assez sotte pour embrasser Andrew sous le regard de Florian. Andrew.... Son amour de jeunesse, celui à qui elle n'avait jamais osé déclarer ses sentiments, parce qu'elle se sentait ridicule, parce qu'il lui paraissait inaccessible, parce qu'une fille ne fait pas le premier pas, en tout cas c'est ce qu'elle avait pensé à cette époque là. Et puis trop jeune, elle ne connaissait encore rien aux garçons, Andrew l'impressionnait, lui faisait un peu peur.... Alors elle avait gardé ses sentiments pour elle, quitte à souffrir seule dans son coin, le cœur serré, le soir dans son lit... maintenant, elle connaissait la préférence d'Andrew pour les garçons, elle savait qu'il ne la regarderait jamais avec les yeux d'un homme amoureux, elle en avait pris son partie. LPC les avait piégés tous les deux. Andrew avait rigolé de ce baiser, Imanita l'avait apprécié comme un gros bonbon sucré à la framboise... Mais surtout, elle se souvenait que LPC était entrée dans la pièce à ce moment là, en compagnie de Florian, elle avait parfaitement bien calculé son coup vicieux. Un instant, Imanita y avait cru mais très vite la dure réalité s'était imposée. LPC avait tiré toutes les ficelles pour rendre Florian jaloux.... Et le consoler ensuite. Andrew appartenait à Yuki au point que celui-ci n'était même pas fâché contre elle, il avait toute confiance en Andrew. A présent, depuis sa rencontre avec Florian, Imanita savait ce que le mot aimer signifiait. Et celui là, elle ne le laisserait pas lui échapper. Elle ne garderait pas son amour enfoui au fond de son cœur, elle allait lui déclarer sa flamme. Elle agirait en adulte non plus en adolescente timide...
- Inutile de te rendre chez elle, tenta de la dissuader Lenou. Elle est trop forte.
- Quoi, trop forte ? Cette pétasse ??? s'emporta Imanita. Tu veux rire.... Tu ne me connais pas, jamais je ne la laisserai gagner. J'aime Florian. Elle ne me le prendra pas, je ne la laisserai pas faire, JAMAIS ! Je ne comprends pas comment tu as pu me trahir en l'aidant à changer de look.... Moi je vais lui refaire le portrait !!!
Imanita se précipita chez LPC, Lenou sur ses talons. Au moment où la jeune femme ouvrait la porte pour rentrer chez elle, Imanita la prit par surprise, la précipita à l'intérieur, se jeta avec rage sur elle. Les deux filles roulèrent par terre, tout de suite, Imanita prit le dessus, plaqua LPC dos contre le sol, s'installa à califourchon sur elle et abattit plusieurs coups de poings féroces d'abord sur la poitrine, puis sur le visage de son adversaire, devant Lenou dépassée par les événements.
Pauvre Lenou, elle était incapable de stopper la fureur de son amie. Heureusement, Florian arriva à temps et avec bien du mal, il réussit à séparer les deux combattantes.
- Ima qu'est ce qu'il te prend ? demanda-t-il en la soulevant du sol et la tirant en arrière.
- Laisse moi, j'en n'ai pas fini avec elle. Je vais lui éclater la tronche à cette merdeuse....
- C'est ridicule de se battre, il y a d'autres moyens de régler ses problèmes....
- Pas avec elle.
- Florian jette moi cette fille hors de chez moi, ordonna LPC qui reprenait ses esprits après cette avalanche de coups.... Je t'en supplie, elle est folle à enfermer.
- Je crois que tu ferais mieux de rentrer chez toi avec ta copine, lui conseilla Florian sans animosité.
- Tu tiens avec elle, cria Imanita au bord de l'hystérie. Je t'aime Florian. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne avant toi.... Viens Lenou, on se casse, je déteste l'air qu'on respire ici....
Les deux jeunes filles, s'en allèrent au grand soulagement de LPC qui, malgré les coups reçus, se félicitait du comportement de sa rivale qui s'était une fois de plus, ridiculisée devant Florian.
- Et ben dis donc, elle sait se défendre la petite ! s'exclama Florian.
- Tu ne vas pas approuver son comportement ? s'insurgea Love...
- Euh, non évidemment, se reprit-il d'un air gêné. Je vais t'aider à te relever.
- J'ai mal partout... je saigne du nez. Peux-tu m'aider à monter dans ma chambre.
- Oui bien sûr.
Il la prit dans ses bras, la souleva du sol et la monta à l'étage, il la déposa sur le lit, chercha dans la salle de bain, de quoi soulager la douleur de la jeune femme. Il soigna les contusions sur le visage, arrêta l'hémorragie nasale. LPC adorait que Florian s'occupe d'elle ainsi ou plus exactement, elle adorait jouer au docteur avec lui....
- J'ai mal aux côtes, tu peux jeter un œil...
- Euh.... Dit-il l'air gêné.
- Déboutonne mon chemisier....
- Je préférerais que tu le fasses toi, dit-il en se frottant le menton.
- Tu étais moins coincé, l'autre nuit, il y a un mois et demi quand tu as emménagé chez moi... tu te souviens comment tu m'as fait l'amour ??? C'était délicieux...
- Oui, affirma-t-il l'air contrarié. C'était après cette affreuse fête durant laquelle cette femme étrange s'était saoulée et avait commencé à faire un strip-tease sur le comptoir.... Quelle soirée.... Je m'en souviendrai.
- La fête nulle je m'en fous, c'est ce qui s'est passé après dans cette chambre qui m'a plu...
- Je n'aurais pas dû abuser de toi si rapidement....
- Mais si. Tu as eu une excellente idée mon chou...
Elle déboutonna son chemisier, lui demanda d'appliquer de la crème sur ses ecchymoses. Florian s'exécuta, troublé par la poitrine de LPC.... A son tour, elle passe la main sous le tee-shirt du jeune homme... elle approcha ses lèvres des siennes, leurs bouches se frôlèrent, puis il l'embrassa fougueusement.... Il dégrafa le soutien-gorge en soie dentelé, et, excité par le jeu de Love, il lui fit l'amour....
Une heure après, il regrettait déjà son geste, car tout en faisant l'amour à LPC, il avait pensé à Imanita.... Maintenant, il savait qu'il aimait Imanita.... Mais il venait de la trahir avec cette femme avant même d'entamer réellement une relation durable avec elle. LPC s'était assoupie, il en profita pour s'éclipser discrètement sans la réveilla. Il n'avait qu'une idée en tête : retrouver Imanita, la serrer dans ses bras et lui déclarer son amour.....

Kawaï roulait en respectant les limitations de vitesse. D'ailleurs, la densité de la circulation, empêchait tout excès. Assis sur le siège passager, Popin admirait le paysage en songeant à leur vie future loin des habitants bizarres de Wisteria Lane... Le silence régnait dans la voiture que seul le ronronnement du moteur venait briser. Puis la sonnerie du portable de Kawaï interrompit leurs méditations respectives.
- Où est mon téléphone ?
- Tu ne peux pas répondre en conduisant, dit Popin.
- Réponds à ma place.
- Où est-il ?
- Dans la poche de ma veste, sur la banquette arrière.
Popin se contorsionna pour attraper le portable, une fois l'objet dans sa main, il était trop tard pour décrocher.
- Mince ! Raté !
- C'était qui.
- Pas trop grave, c'était Yuki... C'est pas une grosse perte.
- Rooh ! Tu n'es pas gentil.
- Ton frère se plait à me faire des réflexions désagréables.... Et je devrais être gentil avec lui ???
Une sonnerie retentit indiquant que l'interlocuteur avait laissé un SMS. Popin lut le message, son visage blêmit en lisant les mots inscrits sur le cadran : « reviens à la maison Ni-Saan... papa est mort... maman a besoin de toi ». Popin avala sa salive, déconcerté par cette nouvelle. Et si Yuki avait inventé cette histoire pour les embêter une fois de plus. Ce serait de très mauvais goût mais Popin l'en croyait capable.
- Alors qu'est ce qu'il raconte ? demanda Kawaï.
Popin jugea préférable de ne pas lui communiquer il serait capable de croire les conneries de Yuki, de faire demi tour et retourner à Wisteria Lane.
- Rien de spécial.... Il te souhaite bon voyage... mentit-il.
- C'est étrange, c'est pas dans ses habitudes.
- Je t'ai toujours dit que ton frère était bizarre !!!
La voiture poursuivit son chemin en direction de l'aéroport.......

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1.22 - SADNESS Vide
MessageSujet: ... re-suite   1.22 - SADNESS Icon_minipostedDim 12 Aoû - 15:07

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Danmind jugea la plaie de Sandro pas très joli, il nettoya, désinfecta, appliqua un produit cicatrisant, et fit le pansement. Après l'épisode du radiateur, Marko avait accepté que Susan appelle le médecin sous certaines conditions. Quenotte avait déjà détruit pas mal de choses dans la maison, la jeune femme prenait le relais. Cette mésaventure allait coûter cher en réparations pour le couple Polonais... Susan avait promis de cacher la vérité au docteur, Marko ayant menacé de les tuer tous les trois en cas de mauvais coup de leur part. En attendant, s'ils voulaient retrouver Quenotte vivant, ils avaient intérêt à ne pas jouer avec le feu....
- Comment s'est-il fait cette plaie ? lui demanda Danmind.
- Un accident idiot... Nous étions en train d'aider mes nouveaux voisins à couper du bois... expliqua Susan d'une voix mal assurée. Sandro souhaitait me montrer comment tenir la hache pour bien fendre le tronc... Au moment où j'allais frapper, Sandro s'est abaissé pour remettre le tronc droit, je ne l'ai pas vu et j'ai asséné le coup sur lui...
- Vous êtes dangereuse avec une hache dans les mains madame Mayer.
- Oui Dan, je suis très maladroite.
- Je pense que nous devrions l'amener à l'hôpital... décréta Danmind.
- Non, je déteste les hôpitaux, cracha Sandro en grimaçant de douleur.
- Où habitez-vous ?
- Depuis plusieurs mois, il loue dans une chambre chez Lamita...
- Lamita, mon assistante ?
- Oui. Vous voyez, Dan, il sera bien soigné ici et chez Lamita...
- Ce n'est pas très raisonnable de refuser d'aller à l'hôpital mais je ne peux pas l'y obliger. Vous me signer juste une décharge me mettant à l'abri au cas où la blessure venait à s'aggraver. Au fait madame Mayer, pourquoi êtes vous recouverte de suie ?
- Ah ça c'est rien, nous étions en train de nettoyer le cheminée de Marko !
- Et vous vous êtes roulée dans la suie...
- Je ne fais jamais les choses à moitié Dan.
- Quand comptez-vous ramener votre ami chez lui ?
- Dés que son état le permettra. Ika lui a gentiment proposé l'hospitalité en attendant son rétablissement. Ce sont des vrais amis.
Elle faisait très attention à ses paroles car Marko planté dans l'embrasure de la porte, ne manquait rien de leur conversation.
- Très bien, je repasserai demain matin, dit Danmind. Je vérifie le pansement. Si jamais sont état se détériore, n'hésitez pas à m'appeler.
- Bien sûr, Dan. Merci beaucoup, dit Susan.
Elle allait lui serrer la main, mais s'arrêta à temps en constatant qu'elle était couverte de suie et risquait de salir le beau costume du docteur.
- Je crois que je vais aller prendre une douche !!! dit-elle l'air un peu gêné.
Ika raccompagna le médecin.
- C'est bien, vous avez été parfaits, les félicita Marko. Je vous conseille de continuer à bien vous comporter.
Il les laissa et ferma la porte à clef derrière lui.
- Je vais trouver un moyen de nous sortir de là.... assura Susan.
- Je vous en supplie Susan. Ne vous occupez plus de rien, lui conseilla Sandro. Vous avez déjà créait suffisamment de dégâts comme ça....
Florian avait passé la nuit chez Imanita. Il voulait en quelque sorte se faire pardonner sa petite « escapade » de l'après midi avec LPC, même si évidemment, il n'avait pas parlé de cet épisode à Ima ni du premier soir où il avait partagé le lit de sa propriétaire... Florian voulait effacer ces deux erreurs, oublier et entamer une relation sérieuse avec Imanita.
La jeune fille fut très agréablement surprise quand, la veille, elle avait vu Florian arriver au Journal. Elle n'en croyait pas ses yeux surtout après ce qu'il s'était passé entre elle et LPC. Pourtant, il était bien là en chair et en os, rien que pour elle. Elle l'avait accueilli avec un large sourire et comme elle avait fini sa journée de travail, ils s'étaient promenés dans le parc en se tenant par la main. Florian lui avait offert une glace à la noix de coco. Ils s'étaient assis sur un banc devant le petit lac dont les eaux calmes miroitaient sous la faible lumière du soleil couchant. Là, Florian entreprit de l'embrasser sur la bouche, tendrement d'abord, avec plus de passion ensuite.
- Tu es très belle, Ima chérie, lui susurra-t-il à l'oreille avant de lui mordiller le lobe....
Le cœur d'Imanita s'était mis à battre la chamade.... A ce moment là elle avait pensé que rien ni personne ne pourrait jamais les séparer.... Elle l'avait invité à souper à la maison, l'avait présenté à ses parents comme un bon copain. Vue l'heure tardive, sa mère l'avait invité à dormir à la maison dans la chambre d'ami. Ce matin, alors que les parents d'Imanita étaient partis au travail, Florian et elle prenaient le petit déjeuner sur la terrasse. Ils n'avaient pas beaucoup de temps car Imanita devait aller au journal.
- J'ai passé une excellente soirée, dit-elle.
- Moi aussi... Une des plus belles de ma vie, avoua-t-il en lui souriant et en lui offrant la biscotte qu'il venait de beurrer pour elle. Cette soirée m'a conforté sur mes sentiments à ton égard. Je t'aime Ima chérie. Je veux vivre avec toi, près de toi.... Toujours....
- Oh mon tigrou.... J'attendais ces mots depuis.... Le jour où je t'ai vu.
- Je vais chercher un autre logement, ou tu pourras venir quand tu veux sans être importunée par LPC.
- C'est merveilleux, j'ai l'impression de vivre un conte de fée...
- Non ce n'est pas un conte, c'est la réalité. Tu es ma princesse, Ima chérie. Je t'aime comme j'ai jamais aimé...
- Alors cette perverse LPC ne compte pas pour toi ?
- Non, elle n'a jamais compté pour moi. Elle va sortir de ma vie définitivement quand j'aurai trouvé un appartement pour nous deux, Ima Chérie.
Elle se blottit dans ses bras, sous le charme, bercée par ses paroles douces et merveilleuses, ses projets d'avenir à deux. Elle n'avait plus rien à craindre de LPC.
- J'ai envie de rester dans tes bras toute la journée mais il est l'heure d'aller au boulot...
- Je te conduis, proposa Florian.
- Oh mon tigrou, je t'aime, je t'aime, je t'aime... comme je suis heureuse.
Et cette fois, c'est elle qui l'embrassa sur la bouche pour un long baiser fougueux. Ils étaient seuls au monde, et tellement amoureux. La terre pouvait s'effondrer autour d'eux, ils s'en foutaient.... Seul leur amour comptait....

Poussée par Grized, Narcheska s'était enfin décidée à rendre visite à ses enfants. Elle n'était pas revenue à Wisteria Lane depuis 12 ans.... Le quartier n'avait pas vraiment changé.... Mais reconnaîtrait-elle ses petits si toutefois, Saraluna la laissait s'en approcher ? Narcheska estimait que Cybélia, déjà adolescente quand elle était partie, ne devait pas avoir trop changé... Par contre, elle craignait de se retrouver comme face à des étrangers inconnus quand elle serait devant les deux plus jeunes.... Comment était devenue sa petite Sayla ? Et... Tiziano ? Elle commençait à regretter d'être venue, elle pouvait encore rebrousser chemin, mais.... Pourquoi attendre davantage alors qu'elle avait espérer et rêver le jour des retrouvailles tant de fois ? Maintenant, debout devant la maison, elle prenait conscience du mal qu'elle leur avait fait et elle redoutait de les voir.... Mais il fallait crever l'abcès, éclaircir les choses et reprendre contact, si seulement, il était encore tant. Elle souffla un grand coup pour se donner du courage, poussa la grille, longea l'allée fleurie qui lui rappelait tant de souvenirs... Soudain, elle revit dans sa mémoire, Saraluna, enfant, en train de courir dans cette allée vers les bras de son père.... C'est les larmes aux yeux qu'elle pressa sur le bouton de la sonnette. Une jeune fille vint lui ouvrir, elle la reconnut tout de suite.
- Oh ma petite Sayla.....
Un flot de larmes coulèrent de ses yeux maquillés, roulèrent le long de ses joues. L'émotion avait pris le dessus sur la peur. Elle admira sa fille cadette, s'imprégna de son image, comme pour l'imprimer au fond de sa mémoire et ne jamais l'oublier. Elle était si belle... plus rebelle que ses sœurs, mais une douceur transparaissait au fond de son regard noir et profond.
- Maman ? balbutia Sayla en reculant d'un pas, tout en reprenant appui sur le chambranle pour ne pas chanceler d'émotion...
- Oui, c'est maman, ma chérie. Laisse moi te regarder...
Narcheska tendit une main pour caresser la joue de sa fille mais celle-ci esquiva.
- Je ne te veux pas de mal ma petite Sayla... je veux juste te serrer dans mes bras et te demander pardon....
- Tu nous as abandonnés pendant douze ans, sans laisser d'adresse, sans t'inquiéter pour nous et tu voudrais que je te pardonne comme ça tout d'un coup parce que rongée de remords, tu sonnes enfin à notre porte ?
- Je sais je n'ai aucune excuse.... Je t'aime Sayla. Tu m'as manqué... Toi tes sœurs et ton frère vous m'avez manqué....
- C'était il y a douze ans que nous avions besoin de toi, à présent c'est trop tard... Ta repentance n'effacera jamais le manque... ni le mal que tu nous as fait à tous et surtout à Sara.... Partir avec son chéri... Tu es un monstre. Il vaut mieux que Cybelia t'oublie et que Tizou ne te connaisse jamais...
- Tu ne peux pas dire ça.... Je suis en droit de connaître mon fils et de revoir Cybelia aussi.... Je comprends ce que tu ressens mais je suis sûre qu'avec le temps tes sentiments évolueront...
- Je ne crois pas, non.
- C'est normal que tu sois insensible à mon chagrin... peut-être que tu ne voudras plus jamais me revoir mais je voulais que tu saches que je t'aime Sayla, je t'aime plus que tout au monde... Si un jour tu veux me parler, venir me voir, je t'ouvrirai mes bras en grand. Tu seras toujours dans mon cœur.
- Il vaut mieux que tu partes maintenant...
Les yeux de Sayla restaient secs, et son regard s'était durci. Contrairement à Saraluna et à Cybelia, elle n'était pas du genre à se laisser émouvoir.
- Tu as raison... Je vais partir. Tu es en droit de me rejeter maintenant, de refuser mon pardon. Le plus important pour moi aujourd'hui c'est de t'avoir vue ma chérie, de constater que tu es devenue une jeune femme très belle et séduisante. Tu sais que je suis là pour toi, tu pourras toujours compter sur moi et.... Tu sais aussi combien je t'aime... au revoir ma petite Sayla chérie. Prends soin de toi. Je t'aime et je serai toujours ta maman quoiqu'il arrive.
Sayla referma la porte, s'adossa contre le mur, les larmes refluaient devant sa mère, se mirent enfin à jaillir. Tout d'un coup, elle avait l'envie folle de courir après sa mère, de la rattraper, de la pardonner, de partir avec elle mais elle savait parfaitement, qu'elle ne le ferait pas...

LPC sortait du cabinet médical le sourire aux lèvres. Elle avait obtenu satisfaction. Malgré les nausées qui l'avaient empêché d'avaler son petit-déjeuner, elle se sentait à présent sereine. Danmind lui avait communiqué le résultat des tests, elle était soulagée...
En rentrant Florian fut accueilli par Gaël qui lui faisait un peu la tête.
- Où t'as passé la nuit ? l'interrogea-t-il. Tu aurais pu me prévenir.
- Excuse-moi mon Gaelou, mais l'amour arrive parfois à l'improviste... dit Florian en lui adressant un clin d'œil. J'ai passé la nuit avec Imanita.
- Non ? C'est vrai ? Tu as enfin conclu ?
- Attends, c'est du sérieux avec Imanita... Je la respecte, je veux prendre le temps pour ne pas la brusquer, ne pas brûler les étapes. Je veux construire avec elle une relation saine, stable et durable.
- T'es vraiment raide dingue de cette fille, alors ? dit Gaël en souriant.
- Oui, je suis amoureux mon Gaelou. C'est merveilleux de se sentir amoureux.
La porte d'entrée claqua la voix de LPC s'écria :
- Coucou mes loulous vous êtes là ?
Elle les rejoignit dans la cuisine.
- Ah Florian mon amour, tu es là...
Elle l'embrassa sur la joue avec amour, malgré la réticence de Florien, devant le regard étonné de Gaël qui ne comprenait plus rien....
- J'ai acheté des viennoiseries pour le petit-déjeuner, reprit-elle toute à sa joie. Pour fêter une bonne nouvelle.
- Une bonne nouvelle ? répéta Florian avec méfiance se demandant ce qu'elle avait encore inventé.
- Oui, je suis passé chez Danmind, le médecin ce matin... Tiens j'ai parlé à Lamita, je ne savais pas qu'elle travaillait au cabinet médical, bref, elle te passe le bonjour Gaël et m'a chargée de t'embrasser de sa part.
- C'est ça ta bonne nouvelle ? interrogea Florian.
- Non Danmind m'a confirmé que les tests étaient positifs... je suis enceinte, déclara-t-elle tout sourire.
- Félicitations, dit Gaël...
- Et qui est l'heureux papa ? demanda Florian.
- Enfin, mon amour, je ne couche pas avec plusieurs amants en même temps voyons, c'est toi le père...
- Rooh ! s'exclama Gaël. Tu t'emmerdes pas Florian... Il te les faut toutes !
Florian ouvrit la bouche mais aucun son ne sortit de sa gorge. Il lui semblait avoir reçu un coup de poing dans l'estomac, il chancela, et vit le visage d'Imanita apparaître comme dans un miroir qui se brisa par terre en mille morceaux....

« Et oui la vie réserve parfois de drôles de surprises. On croit avoir trouvé la sérénité, on croit pouvoir bâtir son avenir sur des bases solides et tout d'un coup tout s'écroule autour de vous.... Florian en avait fait l'amère expérience... derrière les fenêtres de chaque maison, il se passe parfois des événements étranges : des voisins que l'on croyait aimables vous retiennent en otage à cause d'une petite boule de poil trop remuante, une mère tente de renouer des liens avec ses enfants mais le pardon est parfois dur à prononcer avec la bouche alors qu'il se trouve au fond des cœurs... une mère vient de perdre tragiquement son mari tandis que son fils s'envole pour l'étranger.
Parfois la vie apporte le doute dans les foyers... on croit connaître la personne que l'on aime, que l'on suit au bout du monde pour s'apercevoir que cet être aimé peut se comporter d'une manière tout à fait inattendue et impardonnable : Kawaï s'en rendit compte quand, arrivé en France, il ouvrit son portable et découvrit le message de son petit frère.... Il jeta alors un regard empli de rancune vers Popin. Il arrive parfois aussi que la personne avec qui on vit depuis plusieurs années vous cache de vieux secrets qu'on croyait enfoui à tout jamais : Gabrielle Solis l'apprit à ses dépens ce matin là quand, en rangeant la veste de son mari, son portefeuille tomba à terre, elle le ramassa, et son attention fut attirée par une petite photo restée sur le sol, elle s'accroupit, observa le portrait de cet enfant, un petit garçon, dont les traits du visage lui rappelaient quelqu'un mais qui ????? Et oui la vie est un long parcours semé d'embûches, de surprises et de découvertes de toutes sortes...»



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